Jehan CHASTAU le Bourbonnais

ORIGINES DE LA BRANCHE« CIMETIERE DE MONTPERROUX »Avant I750, la trace de l'origine des CIMETIERE DE MONTPERROUX est perdue mais semble sortir des CIMETIERES Seigneurs de la BAZOLLE et de BEAUPOIRIERLe premier CIMETIERE de la BAZOLLE estarrivé de St. ANGE en Angoulème en 1423. Ce premier seigneur connu est RENAUD CIMETIERE mort à Roanne en 1616, puis Jean CIMETIERE, Barthelmy CIMETIERE et Louise CIMETIERE son fils à BEAUPOIRIER etJoseph CIMETIERE puis son fils Guillaume, marié à Claudine de CHANTELOT.A ce dernier succéda Guillaume qui eut une fille Madeleine qui fut mariée à Claude BOUQUET DE CHAZEUIL.La BAZOLLE fut vendue des BOUQUET par la révolution et passa à monsieur DEVILLETTE. Marie LAFOND était fille de Jean LAFOND… à Nevers.François CIMETIERE marié à Marie LAFOND était propriétaire à MONTPERROUX, commune de St. LEON (Allier)François CIMETIERE maréchal-ferrand, habitant à VARENNE SUR TECHES et Jean CIMETIERE habitant MONTEMBOURG.François CIMETIERE épousa Jeanne DURANTIN en 1776, fille de Gilbert DURANTIN et Michelle CLERAT domiciliée à RANDAN d'Auvergne.De cette union naquit Denis CIMETIERE né le 14 mars 1784, se maria le 02 février 1809 à VARENNE SUR TECHES avec Françoise MONTPERTENS. De cette union naquit trois enfants :Antoine CIMETIERE, Denis et Denise.Denise est mariée avec Bonin des RAUBEAUSE…Antoine CIMETIERE épousa Anne Parent en 1834 (née en 1919) fille de X PARENT et Anne BOURBE, mort à BOURDON de MONTEMBROUX. De cette union naquit trois enfants :Deux jumeaux, morts à un mois d'intervalle et François CIMETIERE né le 24 décembre 1858. Marié le 29 août 1883 à Philomène CHATEAU, fille de Gilles CHATEAU et de Anna COMMAILLE, domiciliée à LUCENAY LES AIX.

ST-DIDIER EN-DONJONVISITE A LA BAZOLLEAmis lecteurs, continuons à expl­orer la région pour arriver aujourd'hui à Saint Didier en Donjon, petite commune de quelque 300 habitants et qui nous paraîtrait avoir pas beaucoup d'intérêt s'il y avait le château des Millets et la Bazolle !La Bazolle, cette ancienne et immense construction, au toit dé­bordant et très incliné, est typique ; l'époque du Moyen-âge avec les murs couverts de croisillons de bois. Devant le rez-de-chaussée en restauré picorent quelques volailles et des plantes grimpantesgarnissent la façade.Cette maison, dite maison d'Henri IV, appartenait-elle donc au bon Roi ? Pourquoi pas ?Par fa pensée, reportons-nous aux premières années du XVlI e siè­cle, alors que le pays pacifié re­trouve l'abondance et la joie de vi­vre. C'est l'époque de « la Poule au pot tous les dimanches » ! Devant la Bazolle; le soir tombe vite, mais à l'intérieur, de nombreux servi­teurs s'affairent gaiement. Dans la grande cheminée brûle un arbre entier; un marmiton, le visage rougeoyant, manoeuvre grave­ment un tournebroche sur lequel sont enfilées d'importantes pièces devenaison Sur une longue table le couvert est mis et les flammes accrochent des reflets aux gobelets d'étain. Tout à coup, une rumeur joyeuse arrive du dehors Des chevaux piaffent, hennissent des éclats de voix, des rires éclatent dans lanuit. La porte s'ouvre Le Vert Galant, entouré d'unepetite troupe de seigneurs, entre gaiement et ne semble pas fatigué d'une longue et rude journée de chasse. On va festoyer et tard dans la nuit, continuera la fête...